Ne voir bien qu'avec l'accord
"On ne voit bien qu'avec le coeur", je ne crois pas, je ne sais plus. Enfin oui, de toutes façons, si le corps ne capte plus... Je n'en fais qu'à ma tête, et elle ne tourne pas ronde ma planète. Des matins qui ont la gueule de l'enfer, et d'autres en ambiance de purgatoire, c'en est devenu catégorique, l'Eden ne voudrait pas de moi, en tout cas ici, là, sur Terre.
C'est si simple de se plaindre, de se démêler sans se mêler vraiment, de ce qui est soi, et nous invente ou nous regarde. C'est si simple de beugler à la mort quand la vie a peur ou qu'elle est décousue. Car l'haleine qui tricote ses mauvaises augures autour d'un pardon franchement barbare, la laine, ce serait toujours plus doux que les crins, que les orties, ou le chardon.
J'ingurgite ou non médocs et compagnie, je me plie ou non à l'instruction, et les ordonnances font toujours de moi, de mes intérieurs, un pauvre condamné, coupable de quoi, peut-être de ne pas vouloir.
Il était les chances qu'il aurait probablement fallu ne pas saisir, toutes ne sont pas à vous glorifier ou faire la fête. Malade, alors oui, je veux bien, faute de quoi d'autres, mais à quelles fins...
On aura beau dire, les roues qui tournent, les sorts qui s'inversent et la culpabilité qui se paye un jour, tout cela, c'est barratinade, commerce du petit fou, de l'enjolivé dont on se moque, le quasi-idiot qui croit encore que la vie, ben oui, ça sert à aimer.
Alors, revenons-en au principe premier, aller mal, ça ne fait rien, ça ne fait plus rien, un jour, je dis bien un jour, ils me croiront, ils m'entendront, ils verront. J'avais raison, j'ai déjà la raison qu'ils ignorent, on ne voit bien qu'avec l'accord, et qu'importe après tout si le gérant de ce magnifique bordel est un corps, est un coeur, est un cri, moi, je souffre.
C'est si simple de se plaindre, de se démêler sans se mêler vraiment, de ce qui est soi, et nous invente ou nous regarde. C'est si simple de beugler à la mort quand la vie a peur ou qu'elle est décousue. Car l'haleine qui tricote ses mauvaises augures autour d'un pardon franchement barbare, la laine, ce serait toujours plus doux que les crins, que les orties, ou le chardon.
J'ingurgite ou non médocs et compagnie, je me plie ou non à l'instruction, et les ordonnances font toujours de moi, de mes intérieurs, un pauvre condamné, coupable de quoi, peut-être de ne pas vouloir.
Il était les chances qu'il aurait probablement fallu ne pas saisir, toutes ne sont pas à vous glorifier ou faire la fête. Malade, alors oui, je veux bien, faute de quoi d'autres, mais à quelles fins...
On aura beau dire, les roues qui tournent, les sorts qui s'inversent et la culpabilité qui se paye un jour, tout cela, c'est barratinade, commerce du petit fou, de l'enjolivé dont on se moque, le quasi-idiot qui croit encore que la vie, ben oui, ça sert à aimer.
Alors, revenons-en au principe premier, aller mal, ça ne fait rien, ça ne fait plus rien, un jour, je dis bien un jour, ils me croiront, ils m'entendront, ils verront. J'avais raison, j'ai déjà la raison qu'ils ignorent, on ne voit bien qu'avec l'accord, et qu'importe après tout si le gérant de ce magnifique bordel est un corps, est un coeur, est un cri, moi, je souffre.